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Africatrek

Tout ce qui concerne notre dernier voyage.

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mardi, avril 10 2012

retour de Bulgarie

Etrange pays à nos portes : sauvage, vide et parsemé de ruines industrielles soviétiques lugubres. Quelques vestiges d'une histoire complexe et tourmentée. des vagues d'invasions ont depuis 3000 ans laissé des couches historiques comme le ressac empile des strates de limon, sans parler de la chape de plomb ottomane qui pétrifia cet ancien empire durant 5 siècles avant que les russes ne viennent libérer "ces frères slaves", ce que le monde vit d'un très mauvais oeil de peur que le tsar de toutes les Russies ne trempe alors un pied dans la méditerranée. Les guerres des balkans qui s'ensuivirent aboutirent à l'assassinat de François Joseph à Sarajevo par un serbe pro russe ami des bulgares, qui aboutit à la première guerre mondiale, donc à la seconde.... Je vous l'avait bien dit qu'après Ploviv, la plus ancienne ville d'europe devant Athènes, notre histoire trouvait beaucoup de racines en Bulgarie ! Par ailleurs, histoire confondante, c'est dans la forteresse de Veliko Tarnovo, en plein coeur de la Bulgarie, que Baudoin VI de Hainaut , autoproclamé empereur latin d'orient à Constantinople après que la 4e croisade ait mis la capitale de l'empire oriental à sac au lieu de poursuivre sa mission pour libérer la Palestine, finit ses jours pitoyablement dans un cachot, ce qui acheva cette aventure catastrophique. Il avait préféré s'en prendre à une bande de Bulgares venus secourir leurs frères orthodoxes. En les sous-estimant il se perdit à la tête d'une escouade de nobliaux français... Mais de tous ces tourments il ne reste que quelques pierres. Le pays est étonnement dépourvu de châteaux et monuments historiques : seuls des monastères orthodoxes ayant abrité entre autres les célèbres évangélisateurs Cyril et Méthode jalonnent la campagne et marquent de leur empreinte le sceau de la foi et de la permanence. Tout le reste, villages, villes et traces humaines sont récents et décrépits, porteurs des stigmates et de la laideur communiste, hormis la statuaire monumentale et orgueilleuse qui tranche outrageusement avec la modestie et la pauvreté du reste. Reste une nature vaste et impressionnante aux allures de Canada, des forêts interminables et des terres agricoles largement sous-exploitées. Un pays qui attend toujours son grand réveil. Nous avons été reçus admirablement par notre jeune éditeur Emil Bonev qui, en 2006 à lancé sa maison d'édition avec... Africa Trek 1. Je ne l'avais même pas su. Nous étions invités cette fois-ci pour le lancement en Bulgare de " La marche dans le ciel", les deux tomes d'Africa trek ayant maintenu à flot sa maison depuis lors. Nous avons eu ainsi droit à tous les honneurs et notamment ceux de la première radio libre, la plus importante du pays, et à trois reprises, ceux de la télévision publique. Excusez du peu ! Nous avons participé à un jeune salon de sports extrêmes qui révèle l'aspiration de la jeunesse à sortir de sa gangue de peurs et de frilosité. Nous avons trouvé les Bulgares extrêmement attachants, confraternels et attentionnés, délicats et profonds. Un peuple qui gagne à être connu. Voici un lien vers le site de la télévision nationale Bulgare ici

pas mal le side-car blanc non ?

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la forteresse de Veliko Tarnovo

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Notre sympathique éditeur Emil Bonev, mon aîné de deux semaines, qui fête lui aussi cette année ses 42 ans... Vous pouvez reconnaitre à sa gauche les couvertures de nos deux tomes, mais aussi celle d'une biographie de Castro et celle de Steve Jobs. Hem ! hem !

DSCN3756.JPG Un pays qui doit tourner la page de la laideur collectiviste,

DSCN3759.JPG Et ouvrir celle de l'aventure de la liberté, mais pas celle imposée par le grand frère soviétique...

DSCN3691.JPG renouer avec ses racines au charmant petit village écomusée d'Etara tellement perdu qu'il a échappé à la table rase communiste,

DSCN3822.JPG et qui découvre les joies du "fun" et de l'aventure au salon extreme expo...

Alexandre

mardi, juin 8 2010

Sinaï Trek

Voici le récit en image de nos six jours au désert en compagnie de 12 courageux venus partager nos histoires africaines et réfléchir sur le thème : osez votre vie !

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Arrivés à deux heures du matin après trois heures de route, le réveil est dur pour les asticots.

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Tandis que se préparent les premiers chapatis...

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On cherche sagement l`ombre tant le soleil chauffe déjà...

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De même pour la première pause, l`occasion de s`émerveiller sur la résilience de cet acacia, dont l`ombrage approximatif est malgré tout salvateur. Lui aussi a soif d'une intarissable soif, pourtant sa ration est maigre, quelques jours de pluie par an. Et avec ça, il nous survivra...

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Les paysages s`annoncent rocailleux et durs, mais la marche se fait essentiellement dans le sable. Ce qui est encore plus dur. J`ai proposé à tous d`entrer dans le silence dès cette première journée. Pour rompre avec le bruit du monde et les conversations parasites. Pour laisser la place à l'espace, à l`écoute.

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Première pause déjeuner à l`ombre d`une falaise, à attendre par 42°C pendant cinq heures que le soleil passe. Réminiscences soudanaises. Expérience de la finitude.

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déjà les anciens Nabatéens passaient ce temps au même endroit en jouant des parties d`échecs

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ou en gravant des pictogrammes dans le grès.

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Tandis que je rêve d`un peu de fraicheur écossaise en apercevant Liam Neeson en levant les yeux...

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Dès le premier soir nous sommes bluffés par le courage de nos compagnons de route. Personne ne s`est plaint, c`était pourtant une dure journée. Un petit dromadaire curieux se rapproche de nous innocemment...

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Mais pris de panique, s`enfuit en piétinant Christine. Bilan une côte cassée. Heureusement il y a un docteur parmi nous qui atteste qu`il n`y a pas d`hémorragie interne et que la rate est intacte. Nous lui proposons de l`évacuer, mais elle décide de rester et de voir si elle peut marcher demain. Le campement est infesté de tiques de dromadaires grosses comme des punaises. Branle bas de combat dans les sacs de couchages. Les bédouins nous rassurent : elles n`aiment pas le sang humain.

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Rien de tel pour se prémunir de la chaleur qu`un cheiche bédouin

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Et au réveil de prendre du thé bien noir et bien amer au lieu du rafraichissant carcadet...

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Le deuxième jour se parcours entièrement dans le sable profond, ce qui fait découvrir a tous des muscles nouveaux.

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Heureusement les pauses sont fréquentes et l`occasion de s`émerveiller sur le bestiaire qui nous a précédé en ces lieux il y a deux ou trois mille ans. A l'époque des hébreux, le désert devait être plus vert comme en témoigne la présence de ce lion qui n`était surement pas symbolique.

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Là encore, quatre mètres sous le sable, de l`eau fraiche nous électrise et nous fait renouer avec la vie. Il faut avoir connu cette sensation pour comprendre la valeur de l`eau et la fragilité de notre espèce. Une matinée de marche dans le sable en plein canard suffit : ce devrait être un passage obligatoire...

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Près de la, un seul et unique arbre, seul micro écosystème de la vallée, avec cette grosse et grasse mante religieuse totalement mimétique. Couper l`arbre c`est tuer cette mante. Là encore on comprend mieux au désert les ressorts fragiles de la biodiversité.

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Ou se cache la vie dans ce paysage ?

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J`ai demande a tous de marcher séparement pour faire l`expérience de la fragilité et de la dépendance. On croit fuir l`homme au désert, mais dès le premier jour on n`a de cesse de le retrouver...

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Le franchissement d`obstacles et d`épreuves resserrent les rangs et révèlent de belles solidarités

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de même que la grégarité forcée pendant la pause forcée.

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Qu`aurions nous fait sans cet acacia ?

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Matin du quatrième jour, temps de méditation après une nuit fraiche.

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Mohammed, de la graine de pizzaïolo !

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Tandis que Sonia se retrouve une Madiako. (Je ne suis toujours pas assez délicat ?)

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Départ du cinquième jour vers le Djebel Barqa

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La vieille Toyota a elle quelques ratés... Les téléphones portables de nos amis ont vidé la batterie. Heureusement ce vieux Land Cruiser n'est pas électronique, une petite bidouille et ça repart ! La voiture nous retrouvait le soir avec nos sacs.

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la grotte au pied du Djebel Barqa dans laquelle nous avons dormi. Retrouvez là sur Google Earth Lat 28°45'45.33"N - Long 34°24'1.92"E

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Chant du soir sur un contrefort du Barqa exposé au soleil couchant.

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Quitter une grotte au lever du jour c'est réveiller les origines de notre humanité.

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Vincent Quenottes, cénobite d'un jour. Qui ne rêverait pas d'avoir dormi là ?

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Petit déjeuner aux premières loges du désert.

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Ascension du Djebel Barqa

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Saut d'allégresse de Jean Baptiste, le plus jeune participant de cette équipée : 14 ans !

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Sonia et Claire en grande conversation.

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Slimane, nous fait découvrir en plein nul part, un atelier de taille de meules nabatéennes.

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Quelques minutes de prospection nous font retrouver l'autre moitié de la meule.

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Rassemblée par Vincent Docteur. " Vous rassemblerez ce que le temps a provisoirement séparé..."

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Autre relique du désert : dépouille désechée d'Uromastyx Aegypti : un lézard à queue épineuse fascine notre jeune ergothérapeute.

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Exercice spirituel surprise inspiré d'Africa trek, inspiré d'une tradition éthiopienne tirée des écritures : le lavement de pieds. le plus humble n'est pas forcément celui qu'on croit.

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Une table du désert. Table de la Loi, table de la Cène, autel sacrificiel. Qu'est-ce qu'une table quand on vit par terre ? Une élévation.

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Et toujours cette vie qui s'accroche. La pousse dépassera-t-elle un jour la montagne ?

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Acte de foi dans un repli de pierre : Oui l'eau viendra !

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Oui, le vivant l'emporte sur le minéral ! Arbre vision qui nous tend les bras ! Qui ressemble à s'y méprendre à celui qui nous sauva la vie dans la vallée de la mort au sud du lac Turkana " à la cinquième heure sur votre droite il y aura une colline et au sommet de la colline un arbre avec à son sommet un arbre aux bras ouverts comme une croix; au pied de cette colline se trouve la source de Kachila, si vous ne la trouvez pas, vous devrez rebrousser chemin..."

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Sonia raconte l'histoire à la faveur d'une pause ombragée.

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L'intendance suit avec le déjeuner.

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captivante Sonia.

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Une côte cassée n'empêche pas l'empathie.

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Cherchez l'ombrage. Là-bas, tout là bas, sous l'acacia. C'est là qu'ils dorment tous.

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De notre passage ne restera que l'amitié.

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Une chaine dont chaque maillon a fait la force.

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Ah si seulement ces pas pouvaient se fossiliser ! Qu'en diraient de futurs paléontologues ?

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Dernière confession de Sonia...

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Dernier coucher de soleil sur ces six jours qui nous en auront paru trente. Non qu'ils fussent trop lents mais qu'ils furent rempli de temps plein et de plénitude. Sinai_web259.jpg

Brochette d`amis affectés du syndrome du marcheur comblé.



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Transfiguration. Oui, il parait que j'ai une côte cassée... et alors ?

Et devinez quoi ? Nous rempilons ! Du 16 au 23 octobre 2010. Numerus clausus de 20 personnes. Pour en savoir plus Cliquez ici

mercredi, juin 2 2010

Disparition d'un ami

2006_reine_sud_africains_corse_247.jpg Vous l'avez sans doute appris par la presse, notre ami Robert Laffont, a réalisé son "grand saut" vers l'inconnu la semaine dernière. En 1995 Il nous avait reçus Sylvain et moi dans son petit bureau de la rue des cannettes, avec son plafond peint en bleu ciel, et s'était enthousiasmé aux récits rocambolesques de notre tour du monde à bicyclette. Il sortait de son expérience aux frontières de la mort et venait de lancer sa collection "aider la vie". Il prit son téléphone et demanda au directeur de l'époque Bernard Fixot de nous donner notre chance. C'est ainsi que naquit ma vocation d'écrivain-voyageur. Depuis nous passions tous les étés quelques jours de vacances ensemble à partager des preuves de la magie de la vie. Le jour de sa mort nous étions dans le Sinaï, et ce soir là, sans savoir qu`il s`etait eteint deux heures plus tot, alors que nous etions tous rassembles autour du feu, mon intention de prière alla vers lui, afin qu'il soit accueilli dans la lumière. Alors que nous entonnions l'antienne collective qui alterne les intentions personnelles : "Viens esprit de sainteté, vient esprit de lumière, viens esprit de feu, viens nous embraser !", les braises qui étaient dormantes, s'enflammèrent soudain sur ce dernier mot, et tous furent saisis et amuses par cette coïcidence magique. Merci Robert d'avoir allumé la flamme de ma vocation. Merci de continuer longtemps à souffler doucement sur les braises. Toutes nos pensees vont bien sur vers sa femme Helene.

mardi, février 16 2010

VENEZ MARCHER AVEC NOUS du 15 au 22 mai dans le SINAI

Pour nous dérouiller les jambes avant notre grand départ vers le Japon nous partons marcher une semaine dans le désert du Sinaï.

Ce sera un petit pélerinage sur nos traces et la fin de notre parcours en Afrique sur fond d'échanges autour du thème "Osez votre vie !"

Afin de ne pas la regarder s'écouler sans avoir osé !

Car comme le disait Publius Syrus, esclave romain affranchi :

"Le courage croît en osant et la peur en hésitant"

Pour en savoir plus, cliquez sur ce lien :

Marcher avec les Poussin

D'ici là je devrai avoir fini d'écrire mon livre "Marche Avant" qui retrace et tente d'éclairer les chemins qui m'ont conduit à oser ma vie d'écrivain voyageur.

Africalement

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